"La Prisonnière" de Henri-Georges Clouzot
Soirée cinéma du mercredi
Du 26 juin 2013 Grand Palais
- Description
- Horaires
- Tarifs
Description
Auditorium
La Prisonnière
De Henri Georges Clouzot, 1968, avec Laurent Terzieff, Elisabeth Wiener et Bernard Fresson, 1h45
Henri-Georges Clouzot : L’Enfer et La Prisonnière, diptyque optique
Clouzot fut probablement le seul cinéaste à tenter d’intégrer de manière systématique les effets optiques issus de l’art cinétique dans deux films de fiction destinés au grand public.
En 1964, la Columbia lui ayant donné carte blanche, il commence le tournage de L’Enfer qu’il doit interrompre au bout de trois semaines. Retrouvant les images 40 ans plus tard, Serge Bromberg et Ruxanda Medrea en ont tiré L’Enfer d’Henri-Georges Clouzot, un documentaire sorti en 2009 qui raconte le making of d’un film naufragé tout en le ressuscitant.
En 1968, Clouzot réalise La Prisonnière, son dernier film, qui fait scandale en raison de son contenu jugé libertin. Il y multiplie à nouveau les jeux visuels les plus troublants avec une audace virtuose.
En 1964, la Columbia lui ayant donné carte blanche, il commence le tournage de L’Enfer qu’il doit interrompre au bout de trois semaines. Retrouvant les images 40 ans plus tard, Serge Bromberg et Ruxanda Medrea en ont tiré L’Enfer d’Henri-Georges Clouzot, un documentaire sorti en 2009 qui raconte le making of d’un film naufragé tout en le ressuscitant.
En 1968, Clouzot réalise La Prisonnière, son dernier film, qui fait scandale en raison de son contenu jugé libertin. Il y multiplie à nouveau les jeux visuels les plus troublants avec une audace virtuose.
Horaires
18h30
Tarifs
Entrée libre et gratuite
E-boutique
Le Nouveau Réalisme - Catalogue d'exposition
Acheter ce produitMonumenta 2011 / Anish Kapoor / Grand Palais / Leviathan
Acheter ce produitJe n'ai rien à dire. Entretiens avec Anish Kapoor
Acheter ce produitMagazine
Magazine
James Turrell dans l'oeil du volcan
Au nombre des artistes vivants historiques de cette tendance d’un art de la lumière et de l’espace, l’Américain James Turrell reste sans conteste une figure à part. L’ampleur, la singularité de ses recherches, la puissante dimension spirituelle qui se dégage de son œuvre ambitieuse, inscrite dans la durée, le distinguent comme une référence majeure. Le premier à libérer la lumière de son support pour en faire une œuvre d’art à part entière. La présence de la lumière comme une révélation.