Cette rétrospective est la première grande exposition monographique française consacrée au génie que fut Gréco. Redécouverte par les avant gardes européennes au tournant des XIXe et XXe siècles, son oeuvre à la fois fougueuse et électrique, allie tradition et innovation dans un esprit humaniste, à l’aube du siècle d’or.
Pour en suivre les étapes de "fabrication", rendez-vous sur Twitter pour suivre le commissaire : Guillaume Kientz !
Hôpital de Tavera ! Et la tombe du cardinal par Alonso Berruguete. Un lieu pour lequel Greco travailla beaucoup..on a même l’impression qu’il a peint sa vue de Tolède depuis le point d’observation (fermé au public) tout en haut de la coupole !! #expogreco #GrandPalais #chicago pic.twitter.com/dKw0FOefSv
— kientz guillaume (@guillaumekdd) 7 mars 2019
Vous aimez la vraie peinture ?? Préparez vos yeux ? ! L’ #expogreco arrive au #grandpalais cette automne ! Dernier peintre de la Renaissance, première icône de la modernité ??? pic.twitter.com/ofmSsHxR94
— kientz guillaume (@guillaumekdd) 24 janvier 2019
La grâce de #Venise la force de #Rome , le feu de l' #Espagne ! #Greco c'est tte l' #Europe sur 1 palette ! ici d'incroyables détails de la grande #assomption de @artinstitutechi qui voyagera pr la 1e fois depuis son acquisition en 1906 ! #evenement #expogreco #grandpalais pic.twitter.com/nxQEdhP6qU
— kientz guillaume (@guillaumekdd) 25 janvier 2019
