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C’est à partir de la seconde moitié du XIXe siècle qu’un courant symboliste nait à la suite de premiers mouvements emprunts d’idéalisme menés par Blake, Fussli, Goya ou encore Friedrich.
Ce courant se développe ainsi dans le contexte d’une société en pleine mutation (progrès technique, capitalisme en plein essor, exode rural, glissement des codes traditionnels, remise en cause des dogmes religieux...). Le triomphe du matérialisme mène alors toute expression artistique vers la conscience historique et l’expérience visuelle du spectateur à travers l’académisme mais aussi le naturalisme et l’impressionnisme.
Le symbolisme s’oppose alors aux représentations matérielles et pragmatiques en développant un art amer et pessimiste, transcrivant un doute profond, un sentiment d’échec ou de décadence face au progrès récent. Il a ainsi recours à un monde imaginaire, immatériel, dont l’évocation est permise par l’intermédiaire du rêve (Dans le rêve de Redon), de la vision ou de l’hallucination. La référence aux cultes est alors fréquente (Maurice Denis, Puvis de Chavannes) notamment par la représentation d’un monde de l’au-delà.
Le courant pictural symboliste se caractérise par une production d’images différente de la réalité visible grâce au recours aux « symboles » comme l’allégorie ou l’emblème. L’image doit provoquer ou suggérer des significations nouvelles et mystérieuses, autres que celles représentées. Il est représenté par les Préraphaélites (Burne-Jones) en Grande-Bretagne, Puvis de Chavannes, Gustave Moreau, Odilon Redon puis les Nabis (Maurice Denis) en France, les Sécessions de Munich, Vienne (Klimt) et Berlin…
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Voir le contenu : Places aux jeunes : le bon plan pour les - 26 ans !
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Vous avez moins de 26 ans ? Les expositions Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten et Eva Jospin, "Grottesco" · Claire Tabouret, "D’un seul souffle" vous ouvrent leurs portes gratuitement au Grand Palais avec l’opération "Places aux jeunes", dans la limite des places disponibles. À vos places, prêts, réservez !
Voir le contenu : Une franc-tireuse parmi les hommes : focus sur les "Tirs" de Niki de Saint Phalle
  Niki de Saint Phalle, Tir, séance 26 juin 1961, 26 juin 1961, objets divers, plâtre, métal, peinture acrylique sur bois, 322 × 210 × 35 cm, MAMAC, Musée d’art moderne et d’art contemporain de Nice
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L’histoire, la religion, la politique : Niki de Saint Phalle a tiré sur tout ! Dans les années 1960, l’artiste invente les “ Tirs”, des œuvres explosives où la peinture jaillit sous l’impact des balles. Des performances spectaculaires, libératrices, et...
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  Niki de Saint Phalle, Affiche de l’exposition « Niki de Saint Phalle » à Bonn (19 juin-1er novembre 1992), portant une dédicace manuscrite de l’artiste à Pontus Hulten. Lithographie et mine graphite sur papier, 59 × 41,7 cm, Moderna Museet, Stockholm. Donation de Pontus Hulten, 2005.
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Sous ses couleurs éclatantes et ses formes joyeuses, l’art de Niki de Saint Phalle révèle des luttes engagées et une conscience aiguë du monde. Retour sur le parcours d’une artiste révoltée qui a fait de son œuvre le lieu de nombreux combats.