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Après son succès avec les affiches pour les pièces de théâtre de Sarah Bernhardt, Mucha se lance dans la création d'affiches publicitaires, rendant l'art à la portée de tous !
J’étais heureux d’être engagé dans un art pour le peuple et non pas pour les salons fermés.
C’était bon marché, à la portée de tous et parvenait aussi bien dans les familles aisées que dans les milieux populaires.
Mucha
Dans les années 1890, l’affiche occupe une place centrale dans la culture visuelle grâce au perfectionnement de la lithographie en couleur et au développement de la publicité. Paris apparaît comme une véritable galerie à ciel ouvert. Par son format japonisant, sa composition hiératique, ses couleurs pastel, la première affiche de Mucha pour Sarah Bernhardt révolutionne les codes de ce support (ci-contre).
Fort de ce succès, Mucha se lance dans la création d’affiches publicitaires. En 1896, il signe un contrat d’exclusivité avec l’imprimeur parisien F. Champenois qui lui assure une rémunération mensuelle. Il peut ainsi emménager dans un grand appartement-atelier, rue du Val-de-Grâce.
Champenois est imprimeur et éditeur. Il connaît bien son monde et les clients qui souhaitent avoir une publicité de qualité.
C’est un redoutable vendeur et les commandes affluent très vite. Mucha réalise des affiches pour Moët & Chandon, Lefebvre-Utile ou encore les papiers à cigaretes Job.
Mucha produit également pour Champenois des panneaux décoratifs (par exemple l'Été, l'Automne et l'Hiver de la série Les Arts, 1896 ci-dessous). Il s’agit d’affiches sans texte conçues à des fins décoratives. Ce qui séduit Mucha, c’est que, contrairement aux oeuvres d’art traditionnelles, cette nouvelle forme d’art est accessible au grand public. Au cours des années qui suivent, ses affiches circulent dans toute l’Europe, et le «style Mucha» devient synonyme de l’Art nouveau qui fait alors son apparition.
Retrouvez ces oeuvres dans l'exposition Alphonse Mucha au Musée du Luxembourg, à voir jusqu'au 27 janvier 2019 !
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