Votre panier est vide
Besoin d'inspiration ?
Rendez-vous dans le programme en ligne du GrandPalais
Article -
Au début du XXe siècle, plusieurs artistes mexicains ayant déjà suivi une formation académique reçurent une bourse du gouvernement et se rendirent en Europe pour se confronter aux maîtres anciens, découvrir les avant-gardes et consolider leur carrière. Ils purent approfondir leur connaissance de l’esthétique postimpressionniste et explorer les possibilités du futurisme et du cubisme.
Après plus de dix ans passés en France, des artistes comme Diego Rivera, Zárraga et Montenegro acquirent une large reconnaissance au sein du cercle avant-gardiste parisien. Lorsque la révolution mexicaine éclata, leur avenir artistique devint incertain. Après le chaos de la Première Guerre mondiale, la plupart des artistes, dont les Mexicains, cherchèrent à traduire dans leurs œuvres la quête d’un « retour à l’ordre ». Certains abandonnèrent l’avant-gardisme européen pour rentrer au Mexique et créer leur propre style, plus en accord avec la pensée esthétique nationale, tandis que d’autres, comme Nahui Olin et Agustín Lazo, bénéficiant du soutien nancier de leurs familles, se réfugiaient en Europe pour échapper à la révolution mexicaine.
Votre panier est vide
Besoin d'inspiration ?
Rendez-vous dans le programme en ligne du GrandPalais
Voir le contenu : C'est ouvert ! Eva Jospin et Claire Tabouret : deux expositions inédites au Grand Palais
Article -
Jusqu’au 15 mars, vous êtes invités à explorer les univers fascinants d’Eva Jospin et de Claire Tabouret, présentés dans deux galeries du Grand Palais reliées par une même entrée.
Voir le contenu : Récits dessinés entre quotidien et imaginaire : la bande annonce de l’expo Dessins sans limite
Robert Longo, Men in the Cities (Triptych Drawings for the Pompidou), 1981 - 1999 / Don de l’artiste, 2000 Centre Pompidou, Paris
Article -
Dès le 16 décembre, les trésors inestimables du cabinet d’art graphique du Centre Pompidou se révèlent au Grand Palais. Une rare occasion d’approcher les chefs-d'œuvre de grands maîtres et de comprendre comment le dessin, loin d’être figé, s’est réinventé...
Voir le contenu : Un trésor du Roi-Soleil bientôt sous la verrière du Grand Palais : réservez vos places !
Manufacture de la Savonnerie d’après Charles Le Brun (1619-1690), Tête d’Apollon, détail du 6e tapis de la Grande Galerie du Louvre, laine et lin, 8,82 x 5,94. Paris, Mobilier national
Article -
Sept jours seulement, une trentaine de tapis exposés, un décor royal ressuscité : entrez dans la légende du Roi-Soleil, sous la majestueuse verrière du Grand Palais. La billetterie est ouverte !