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3 raisons d’explorer "Le grand palais de ma mère", la rétrospective qui casse les codes

Photo d'une R12 dans la Nef du Grand Palais
Simon Lerat pour le GrandPalaisRmn, Paris, 2024 et Yohanne Lamoulère,Tendance Floue

Et si le Grand Palais devenait un terrain de vie, d’histoires et de rencontres inattendues ? Avec "Le grand palais de ma mère", Mohamed El Khatib casse les codes traditionnels du musée et propose un évènement riche, sensible et joyeux entre expositions, spectacles, témoignages et soirées festives. Du 13 au 29 juin au Grand Palais, l’intime devient spectacle, l’histoire populaire s’écrit en grand et la réalité se mêle à la fiction ! Voici 3 raisons de ne surtout pas manquer ça.

1. Voir la Nef du Grand Palais transformée en parcours vivant et décalé

En journée, du 14 au 29 juin, la Nef devient un espace aussi vivant que surprenant pour vous offrir un voyage dans l’œuvre foisonnante de Mohamed El Khatib. À travers des installations inédites, des récits intimes et des animations inattendues, vous plongerez dans l'univers foisonnant de Mohamed El Khatib. Vous y croiserez des objets détournés, des figures marquantes et tout un monde à la frontière entre art et vie.

Photo d'une R12 dans la Nef du Grand Palais
Simon Lerat pour le GrandPalaisRmn, Paris, 2024 et Yohanne Lamoulère,Tendance Floue
Photographie de supporters
Yohanne Lamoulère, Tendance Floue

2. Vivre des soirées fortes, authentiques et festives 

Le soir venu, les 13, 14, 15, 27 et 28 juin, place aux soirées 504 : des rendez-vous mêlant projections, performances, témoignages poignants de familles maghrébines et... DJ sets puissants ! Ces soirées sont un cocktail d’émotions, de mémoire collective et de fête. Les interventions musicales signées Aziz Konkrite, Hadj Sameer, La Louuve et Retro Cassetta feront vibrer la Nef aux rythmes du Maghreb. Et ce n’est pas tout ! Découvrez aussi :

  • STADIUM (les 20 et 21 juin), pièce monumentale réunissant 58 supporters du Racing Club de Lens, qualifiés de "meilleur public de France", qui offrent deux représentations d’adieux au Grand Palais.
  • Finir en beauté (les 24, 25 et 26 juin), grand prix de littérature dramatique, où Mohamed El Khatib évoque avec sensibilité la fin de vie de sa mère.
  • Boule à neige (les 17, 18, 19, 24, 25 et 26 juin), avec l’historien Patrick Boucheron, qui retrace une histoire populaire de l’art à travers la boule à neige, présenté pour une série d’ultimes représentations.
  • La vie secrète des vieux (les 17, 18, 19 juin), pièce émouvante sur l’amour en fin de vie, portée par sept interprètes d’âges avancés.
Portrait en noir et blanc de Mohamed El Khatib
Anthony Anciaux

3. (Re)découvrir l’artiste pluridisciplinaire Mohamed El Khatib

Né en 1980 à Beaugency dans une famille marocaine, Mohamed El Khatib a d’abord été un jeune footballeur prometteur avant de se tourner vers les arts. Diplômé de Sciences Po, ancien étudiant en sociologie, il fonde le collectif Zirlib et invente ce qu’il appelle la "performance documentaire", où la rencontre humaine et l’enquête sociale sont au cœur de ses créations. 

À travers son travail, il questionne les mécanismes d’exclusion, réinvente les espaces culturels et mêle avec humour et empathie l’intime et le politique pour faire bouger les lignes. Il donne la parole à ceux qu’on n’entend pas, explore les frontières entre intime et politique, interroge nos façons de voir et d’écouter avec une énergie communicative.

Pour mieux saisir l’ampleur et la singularité de son travail, consultez le portrait de l’artiste réalisé par le Centre Pompidou "Mohamed El Khatib, passeur décisif".

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