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Une enfance heureuse
Marie-Antoinette, de son vrai nom « Maria Antonia Anna Josepha Johanna von Habsburg-Lothringen » (Marie-Antoinette de Lorraine-Habsbourg), est née le 2 novembre 1755, à Vienne, en Autriche. Sur l'image ci-dessous Marie-Antoinette est au centre dans son berceau, détail de {L'Empereur François Ier d'Autriche et l'Impératrice Marie Thérèse entourés de leurs douze enfants} conservée au château de Versailles. © Photo RMN - Daniel Arnaudet Son père est l’empereur François Ier de Lorraine et sa mère l’impératrice Marie-Thérèse d’Autriche. De naissance, Marie-Antoinette est archiduchesse (Titre donné aux princesses de la maison d’Autriche). Elle est l’avant-dernière d’une famille de 16 enfants dont 13 ont survécu (8 filles et 5 garçons). Elle passe une enfance heureuse en Autriche, entre le palais de Hofburg où elle est née et le palais de Schönbrunn, la résidence d’été de la famille impériale.
Marie-Antoinette reçoit une éducation religieuse, artistique et musicale (pianoforte). Elle apprend le dessin, la danse, le chant, la musique. Elle apprend les règles de la vie de cour, la bonne tenue, les bonnes manières. Avec ses frères et sœurs, elle participe aux spectacles organisés au château à l’occasion des fêtes, des anniversaires. Ses parents lui donnent, comme à tous ses frères et sœurs, une formation exigeante et moderne qui tient compte du caractère de chacun et encourage le talent personnel. Mais, lorsque Marie-Antoinette a 10 ans, son savoir montre de nombreuses faiblesses. Sa gouvernante, la comtesse von Brandis, très attentionnée, a manqué de fermeté envers la petite fille qui préfère les loisirs aux études. Cliquez ici pour accéder aux définitions de certains mots dans le dico Marie-Antoinette
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Voir le contenu : L’Art Brut en mission : réparer le monde
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Et si, en marge du monde, des artistes détenaient les clés d’un autre avenir pour l’humanité ? L’exposition Art Brut au Grand Palais nous révèle des créateurs qui, loin des projecteurs, s’inventent prophètes ou messagers d’un monde à réparer.
Voir le contenu : Jean Tinguely : quand les “anti-machines” prennent vie au Grand Palais
Jean Tinguely, L’Enfer, un petit début, 1984, métal, objets et matériaux divers, moteurs électriques, 370 × 920 × 700 cm, Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris.
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Au Grand Palais, les célèbres machines animées et sonores de Jean Tinguely se mettent en mouvement. Un moment rare, spectaculaire et joyeusement subversif à découvrir dans l’exposition Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten cet automne.
Voir le contenu : Journaux intimes, journaux du monde : derniers jours pour découvrir l'art brut au Grand Palais
Fleury Joseph CRÉPIN, 1941, sans titre, huile sur toile, 61 x 89 cm (élément central), ART BRUT / donation Bruno Decharme en 2021
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Jusqu’au 21 septembre au Grand Palais, l’exposition Art Brut, Dans l’intimité d’une collection. Donation Decharme au Centre Pompidou vous invite à explorer les voix singulières d’artistes souvent marginalisés, qui ont trouvé dans leurs créations un moyen...