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Georges de La Tour (1593-1652) est un peintre du XVIIe siècle. Il représente le caravagisme en France.
Georges de La Tour est un peintre lorrain. Son talent est très vite reconnu dans sa région puis par le roi de France Louis XIII qui le nomme peintre officiel. On lui accorde un logement au Louvre, mais il préfère rester en Lorraine. De 17 ans à 23 ans, Georges de La Tour se forme en Italie à l'art du maniérisme et peut-être à l'art de Caravage. Comme lui, il aime représenter des scènes du quotidien et travaille la lumière et le clair-obscur avec une grande attention. Cet artiste est resté longtemps inconnu. En 1915, Hermann Voss, un historien de l'art allemand, lui attribua des tableaux nocturnes (de nuit). Par la suite, on découvre ses tableaux diurnes (de jour), bien qu'il les peignit en premier.
Les œuvres diurnes. Ces tableaux diurnes sont des scènes de genre, pour la plupart : un tricheur, une diseuse de bonne aventure...
Les couleurs sont vives. Le décor est souvent absent, Georges de La Tour concentre le spectateur sur ses personnages et leurs expressions.
Les œuvres nocturnes.
Toutes les oeuvres nocturnes sont réalisées après 1640. Il s'agit de scènes religieuses. Elles sont très peu éclairées, souvent par la flamme d'une bougie. Ce clair-obscur donne à ces scènes une atmosphère calme et sereine. Ces tableaux sont encore plus épurés que les diurnes: aucun élément de décor, peu de détails. Les personnage sont immobiles et silencieux.
Le peintre attire l'attention sur les visages, les regards. Madeleine est pensive, le jeune garçon se concentre sur sa lampe
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Voir le contenu : L'histoire de "Hon", la Nana géante qui fit entrer le public dans l’art
Vue de l’exposition « Hon – en katedral », Moderna Museet, Stockholm (4 juin-4 septembre 1966)
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Elle est représentée sur l’affiche de l’exposition et elle fait partie des réalisations monumentales de Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely : "Hon". Une Nana géante, joyeuse et déroutante de 28 mètres de long ! On vous explique tout sur ce projet audacieux qui a marqué les esprits et une époque.
Voir le contenu : Jean Tinguely : quand les “anti-machines” prennent vie au Grand Palais
Jean Tinguely, L’Enfer, un petit début, 1984, métal, objets et matériaux divers, moteurs électriques, 370 × 920 × 700 cm, Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris.
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Au Grand Palais, les célèbres machines animées et sonores de Jean Tinguely se mettent en mouvement. Un moment rare, spectaculaire et joyeusement subversif à découvrir dans l’exposition Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten cet automne.
Voir le contenu : Journaux intimes, journaux du monde : derniers jours pour découvrir l'art brut au Grand Palais
Fleury Joseph CRÉPIN, 1941, sans titre, huile sur toile, 61 x 89 cm (élément central), ART BRUT / donation Bruno Decharme en 2021
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Jusqu’au 21 septembre au Grand Palais, l’exposition Art Brut, Dans l’intimité d’une collection. Donation Decharme au Centre Pompidou vous invite à explorer les voix singulières d’artistes souvent marginalisés, qui ont trouvé dans leurs créations un moyen...