Votre panier est vide
Besoin d'inspiration ?
Rendez-vous dans le programme en ligne du GrandPalais
Article -
La peinture de paysage nait assez tardivement en tant que genre à part entière. En effet, durant la Renaissance, le paysage n’est pas encore reconnu comme le sujet d’un tableau mais seulement décor au sein duquel se déroule une scène historique ou mythologique.
C’est à la transition du XVIe et du XVIIe qu’une première étape est franchie grâce aux décorations à fresque réalisées dans les palais italiens où le paysage prend une place prépondérante (Annibale Carrache). Mais il reste avant tout un support de la narration. Quelques décennies plus tard, Nicolas Poussin et Le Lorrain feront du paysage un personnage à part entière de leurs œuvres. Cette période est celle dite du paysage classique, où la nature omniprésente est idéalisée, « arcadienne », le reflet de la scène historique représentée.
Le XVIIe siècle voit également d’autres artistes représenter le paysage d’une manière plus naturaliste, cherchant à montrer les rapports entre l’homme et une nature plus sauvage (Rembrandt, Rubens). Ce mouvement « baroque » du paysage conduira à l’utilisation qu’en feront les artistes romantiques à la fin du XVIIIe et durant le XIXe siècle : un paysage où le pittoresque et le sublime sont omniprésents et servent d’allégorie du sentiment du personnage représenté.
Votre panier est vide
Besoin d'inspiration ?
Rendez-vous dans le programme en ligne du GrandPalais
Voir le contenu : Un trésor du Roi-Soleil bientôt sous la verrière du Grand Palais : réservez vos places !
Manufacture de la Savonnerie d’après Charles Le Brun (1619-1690), Tête d’Apollon, détail du 6e tapis de la Grande Galerie du Louvre, laine et lin, 8,82 x 5,94. Paris, Mobilier national
Article -
Sept jours seulement, une trentaine de tapis exposés, un décor royal ressuscité : entrez dans la légende du Roi-Soleil, sous la majestueuse verrière du Grand Palais. La billetterie est ouverte !
Voir le contenu : Dernières semaines pour découvrir l'expo Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely et Pontus Hulten
Jean Tinguely, L’Enfer, un petit début, 1984, métal, objets et matériaux divers, moteurs électriques, 370 × 920 × 700 cm, Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris.
Article -
Une parenthèse artistique, ludique et historique avant les fêtes ! Vous avez encore jusqu’au 4 janvier 2026 pour découvrir l'aventure du trio Saint Phalle, Tinguely, Hulten. Entre le sculpteur suisse, la sculptrice franco-américaine et le commissaire d...
Voir le contenu : Les coulisses d’une création contemporaine hors norme
Broderie à l'aiguille, Atelier Montex
Article -
Le Grand Palais et le19M, lieu des Métiers d’art de CHANEL, se sont associés pour créer un rideau textile monumental, célébrant la richesse des savoir-faire d’excellence et sublimant la majesté de la Nef. Découvrez en vidéo les secrets de fabrication et...