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La peinture de paysage nait assez tardivement en tant que genre à part entière. En effet, durant la Renaissance, le paysage n’est pas encore reconnu comme le sujet d’un tableau mais seulement décor au sein duquel se déroule une scène historique ou mythologique.
C’est à la transition du XVIe et du XVIIe qu’une première étape est franchie grâce aux décorations à fresque réalisées dans les palais italiens où le paysage prend une place prépondérante (Annibale Carrache). Mais il reste avant tout un support de la narration. Quelques décennies plus tard, Nicolas Poussin et Le Lorrain feront du paysage un personnage à part entière de leurs œuvres. Cette période est celle dite du paysage classique, où la nature omniprésente est idéalisée, « arcadienne », le reflet de la scène historique représentée.
Le XVIIe siècle voit également d’autres artistes représenter le paysage d’une manière plus naturaliste, cherchant à montrer les rapports entre l’homme et une nature plus sauvage (Rembrandt, Rubens). Ce mouvement « baroque » du paysage conduira à l’utilisation qu’en feront les artistes romantiques à la fin du XVIIIe et durant le XIXe siècle : un paysage où le pittoresque et le sublime sont omniprésents et servent d’allégorie du sentiment du personnage représenté.
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Voir le contenu : L'histoire de "Hon", la Nana géante qui fit entrer le public dans l’art
Vue de l’exposition « Hon – en katedral », Moderna Museet, Stockholm (4 juin-4 septembre 1966)
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Elle est représentée sur l’affiche de l’exposition et elle fait partie des réalisations monumentales de Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely : "Hon". Une Nana géante, joyeuse et déroutante de 28 mètres de long ! On vous explique tout sur ce projet audacieux qui a marqué les esprits et une époque.
Voir le contenu : Jean Tinguely : quand les “anti-machines” prennent vie au Grand Palais
Jean Tinguely, L’Enfer, un petit début, 1984, métal, objets et matériaux divers, moteurs électriques, 370 × 920 × 700 cm, Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris.
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Au Grand Palais, les célèbres machines animées et sonores de Jean Tinguely se mettent en mouvement. Un moment rare, spectaculaire et joyeusement subversif à découvrir dans l’exposition Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten cet automne.
Voir le contenu : Journaux intimes, journaux du monde : derniers jours pour découvrir l'art brut au Grand Palais
Fleury Joseph CRÉPIN, 1941, sans titre, huile sur toile, 61 x 89 cm (élément central), ART BRUT / donation Bruno Decharme en 2021
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Jusqu’au 21 septembre au Grand Palais, l’exposition Art Brut, Dans l’intimité d’une collection. Donation Decharme au Centre Pompidou vous invite à explorer les voix singulières d’artistes souvent marginalisés, qui ont trouvé dans leurs créations un moyen...