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La peinture préhistorique fut découverte en 1879, par l’archéologue Marcelino de Sautuola dans la grotte d’Altamira en Espagne. C’est le premier ensemble pictural préhistorique important qui ait été découvert et publié. Mais l’attribution des peintures animalières d’Altamira pose question à l’époque car on s’interroge sur l’homme préhistorique et sur ses capacités à produire des œuvres d’art. Ce n’est que beaucoup plus tard, au début du XXe siècle, que l’art pariétal est enfin reconnu et les décors de la grotte espagnole sont datés vers 12 000 ans avant Jésus-Christ.
L’art pariétal regroupe l’ensemble des œuvres réalisées par l’homme sur les parois des grottes ou des abris rocheux, elles peuvent être gravées, sculptées ou peintes. Les premières manifestations artistiques des hommes préhistoriques datent du paléolithique supérieur (de 35 000 ans à 10 000 ans avant Jésus-Christ) qui voit apparaître l’homme moderne (homo sapiens). Dans un premier temps l’homme orne les grottes de gravures schématiques. Les techniques de peintures prennent leur essor durant la période Magdalénienne (de 17 000 à 10 000 avant Jésus-Christ). Les sites les plus célèbres sont situés principalement en France et en Espagne, il s’agit des grottes de Lascaux, Pech-Merle, Font-de-Gaume, Cosquer, Altamira…
La peinture préhistorique est essentiellement animalière, chevaux et bisons dominent mais on trouve aussi cervidés, capridés et mammouths. L’homme se représente très rarement, il semble déguisé comme le « sorcier » des la grotte des Trois-Frères dans les Pyrénées. Les artistes utilisent une palette composée essentiellement de noir, différents ocres et de rouge tirée de divers oxydes (manganèse, fer…). La peinture est appliquée directement soufflée ou estompée et les peintres utilisent les reliefs de la paroi pour donner du volume aux représentations. On ne connaît pas la signification exacte de ces ornements, certains y voient un sens rituel lié à la chasse ou un sens religieux.
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Voir le contenu : L'histoire de "Hon", la Nana géante qui fit entrer le public dans l’art
Vue de l’exposition « Hon – en katedral », Moderna Museet, Stockholm (4 juin-4 septembre 1966)
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Elle est représentée sur l’affiche de l’exposition et elle fait partie des réalisations monumentales de Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely : "Hon". Une Nana géante, joyeuse et déroutante de 28 mètres de long ! On vous explique tout sur ce projet audacieux qui a marqué les esprits et une époque.
Voir le contenu : Jean Tinguely : quand les “anti-machines” prennent vie au Grand Palais
Jean Tinguely, L’Enfer, un petit début, 1984, métal, objets et matériaux divers, moteurs électriques, 370 × 920 × 700 cm, Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris.
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Au Grand Palais, les célèbres machines animées et sonores de Jean Tinguely se mettent en mouvement. Un moment rare, spectaculaire et joyeusement subversif à découvrir dans l’exposition Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten cet automne.
Voir le contenu : Journaux intimes, journaux du monde : derniers jours pour découvrir l'art brut au Grand Palais
Fleury Joseph CRÉPIN, 1941, sans titre, huile sur toile, 61 x 89 cm (élément central), ART BRUT / donation Bruno Decharme en 2021
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Jusqu’au 21 septembre au Grand Palais, l’exposition Art Brut, Dans l’intimité d’une collection. Donation Decharme au Centre Pompidou vous invite à explorer les voix singulières d’artistes souvent marginalisés, qui ont trouvé dans leurs créations un moyen...