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La sculpture est sans doute l’aspect le plus connu de l’art antique, grecque ou romaine, elle appartient à la culture dite « classique », héritage fondateur pour l’art occidental. Il reste relativement peu d’originaux grecs, la plupart sont fragmentaires et de nombreux bronzes ont disparu. C'est grâce à des copies romaines que l'on connaît mieux la statuaire grecque, car les Romains se sont largement inspirés des modèles grecs qu’ils ont imités et réinterprétés.
L’histoire de la sculpture grecque se définit dans la recherche du beau, la représentation du corps humain et la conquête d’un réalisme toujours plus grand. Tout d’abord influencée par l’orient, la grande sculpture se développe durant la période archaïque, du VIIIe siècle à la fin du VIe siècle av. J.-C. L’évolution de la représentation du nu masculin et du drapé est sensible dans la production des kouroï (jeunes hommes) et des koraï (jeunes filles).
La période classique est considérée comme l’apogée de la statuaire, du Ve avant Jésus-Christ au règne d’Alexandre le Grand. Représentée par des sculpteurs comme Phidias, Myron, Polyclète, puis Praxitèle et Lysippe, elle marque une avancée dans la maîtrise de l’anatomie et de la pose. La technologie de la fonte du bronze permet de réaliser de grandes pièces mais très rares sont celles encore conservées dans leur intégralité comme l'Aurige de Delphes, le Dieu de l'Artémision ou les Guerriers de Riace.
La période hellénistique, qui va de la mort d'Alexandre en 323 avant Jésus-Christ jusqu'à la domination romaine, a livré des œuvres comme la Vénus de Milo, le groupe du Laocoon du Vatican ou encore la Victoire de Samothrace. Les artistes recherchent alors le mouvement et une plus grande expressivité des figures.
Pour les Romains, les Grecs ont tout inventé dans le domaine de l’art, c’est ce qui explique le recours massif à la copie. Les modèles grecs fournissent tout un vocabulaire artistique mis au service des empereurs et d’un message politique puissant, mais aussi de la commande privée des grandes familles. Plus que les artistes, ce sont les commanditaires qui maitrisent la production et laissent leur nom sur les œuvres. L’art du portrait atteint un réalisme sans précédent, c’est le moyen d’expression politique privilégié à l’époque romaine.
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Voir le contenu : L'histoire de "Hon", la Nana géante qui fit entrer le public dans l’art
Vue de l’exposition « Hon – en katedral », Moderna Museet, Stockholm (4 juin-4 septembre 1966)
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Elle est représentée sur l’affiche de l’exposition et elle fait partie des réalisations monumentales de Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely : "Hon". Une Nana géante, joyeuse et déroutante de 28 mètres de long ! On vous explique tout sur ce projet audacieux qui a marqué les esprits et une époque.
Voir le contenu : Jean Tinguely : quand les “anti-machines” prennent vie au Grand Palais
Jean Tinguely, L’Enfer, un petit début, 1984, métal, objets et matériaux divers, moteurs électriques, 370 × 920 × 700 cm, Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris.
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Au Grand Palais, les célèbres machines animées et sonores de Jean Tinguely se mettent en mouvement. Un moment rare, spectaculaire et joyeusement subversif à découvrir dans l’exposition Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten cet automne.
Voir le contenu : Journaux intimes, journaux du monde : derniers jours pour découvrir l'art brut au Grand Palais
Fleury Joseph CRÉPIN, 1941, sans titre, huile sur toile, 61 x 89 cm (élément central), ART BRUT / donation Bruno Decharme en 2021
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Jusqu’au 21 septembre au Grand Palais, l’exposition Art Brut, Dans l’intimité d’une collection. Donation Decharme au Centre Pompidou vous invite à explorer les voix singulières d’artistes souvent marginalisés, qui ont trouvé dans leurs créations un moyen...