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Léonard de Vinci est né en 1452 et doit son nom à la ville de Vinci non loin de Florence. Il entre en 1469 dans le prestigieux atelier de Verrocchio (1435-1488) où il se forme à différentes techniques car son maître est à la fois orfèvre, peintre, sculpteur et fondeur. Vers 1482 il s’installe à Milan à la cour de Ludovic Sforza où il devient « ordonnateur de fêtes et spectacles aux décors somptueux ». Durant cette période de près de 20 ans il peint et affirme son style au modelé doux : les contours des figures ne sont pas incisifs mais se fondent en une série de gradations. Cet effet est appelé « sfumato ».
Entre 1495 et 1498 il peint la Cène qui renouvelle la représentation traditionnelle de cet épisode biblique par le naturel des expressions et des figures et l’illusionnisme de l’espace figuré, qui semble prolonger le mur du réfectoire sur lequel il est peint. Il travaille aussi au projet de statue équestre de Ludovic Sforza, dessine des plans d’églises et réfléchit à des architectures. Il compile ses réflexions artistiques et ses notes d’anatomie, de botanique, de mécanique et de géométrie sur des carnets.
Il quitte Milan à la chute des Sforza en 1499, séjourne à Mantoue et à Venise, suit César Borgia en Ombrie en tant qu’ingénieur militaire et retourne à Florence en 1503. Là il commence le portrait de femme connu sous le nom de la Joconde, célèbre pour le modelé suave et le lointain et profond paysage. Après un nouveau passage par Milan il s’installe quelques temps à Rome, protégé par le cardinal Julien de Médicis.
En 1517 il accepte l’invitation de François Ier qui le nomme « premier peintre, architecte et mechanicien du roi » ; il termine sa vie à la cour de France en 1519.
Léonard de Vinci incarne l’artiste de la Renaissance par excellence: peintre, sculpteur, architecte, il est aussi ingénieur et écrivain. Considéré comme un maître par ses contemporains, il s’est employé à rassembler l’expérience la plus vaste et la plus profonde possible des lois de la nature et de l’univers.
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Voir le contenu : L'histoire de "Hon", la Nana géante qui fit entrer le public dans l’art
Vue de l’exposition « Hon – en katedral », Moderna Museet, Stockholm (4 juin-4 septembre 1966)
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Elle est représentée sur l’affiche de l’exposition et elle fait partie des réalisations monumentales de Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely : "Hon". Une Nana géante, joyeuse et déroutante de 28 mètres de long ! On vous explique tout sur ce projet audacieux qui a marqué les esprits et une époque.
Voir le contenu : Jean Tinguely : quand les “anti-machines” prennent vie au Grand Palais
Jean Tinguely, L’Enfer, un petit début, 1984, métal, objets et matériaux divers, moteurs électriques, 370 × 920 × 700 cm, Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris.
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Au Grand Palais, les célèbres machines animées et sonores de Jean Tinguely se mettent en mouvement. Un moment rare, spectaculaire et joyeusement subversif à découvrir dans l’exposition Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten cet automne.
Voir le contenu : Journaux intimes, journaux du monde : derniers jours pour découvrir l'art brut au Grand Palais
Fleury Joseph CRÉPIN, 1941, sans titre, huile sur toile, 61 x 89 cm (élément central), ART BRUT / donation Bruno Decharme en 2021
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Jusqu’au 21 septembre au Grand Palais, l’exposition Art Brut, Dans l’intimité d’une collection. Donation Decharme au Centre Pompidou vous invite à explorer les voix singulières d’artistes souvent marginalisés, qui ont trouvé dans leurs créations un moyen...