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A tempera signifie en italien "à détrempe". Tout comme la détrempe, la tempera utilise l’eau pour dissoudre les couleurs.
	Les pigments, qui sont la substance colorée de la peinture se présentent les plus souvent sous forme de poudre et sont constitués d’éléments organiques ou minéraux finement broyés. Il faut donc une substance pour les agglutiner, assurer la cohérence du mélange et lui permettre d’adhérer au support. Cet élément peut être de l’amidon, une gomme (arabique, adragante …), une colle, de la caséine (substance tirée du lait) ou le plus souvent du jaune d’œuf.
L’ajout d’eau, qui caractérise cette technique, donne à la peinture sa fluidité et lui permet alors d’être appliquée plus facilement sur le support. Pour peindre un panneau de bois ou une paroi murale à tempera, on les recouvre d’abord de nombreuses couches de préparation à base de craie ou de plâtre. Au XVe siècle, cette technique était aussi utilisée sur toile. La tempera est une technique claire et lumineuse, précise, assez solide, mais pas totalement irréversible : elle peut se dissoudre en présence d’eau. Il faut peindre rapidement car la couche picturale sèche rapidement et ne peut donc pas être reprise facilement.
La tempera compte parmi les plus anciennes techniques picturales. On en trouve des traces dans la peinture antique, Egyptienne et Romaine mais c’est aussi la technique privilégiée par les peintres d’icônes byzantines. Elle domine tout le Moyen Age, jusqu’au XVe siècle où on lui préfère peu à peu la peinture à l’huile, plus résistante et permettant des effets plus variés.
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