C’est avant tout la dimension immersive et olfactive qui est saluée par les journalistes d’Europe 1 : la visite de l’expo est d’abord sensorielle. Le Parisien étudiant et Art critique s'intéressent également à cette expérience immersive : elle invite à découvrir Mucha, l’artiste majeur de l’Art nouveau, dans une scénographie qui enchante les sens, pour reprendre le titre de l'article paru dans Connaissance des arts.
Vanity Fair revient sur la collaboration de Grand Palais Immersif avec la société TechnicoFlor : des bornes permettent d'humer les fleurs de la région natale de Mucha et celles qui bordaient son atelier de la rue du Val de Grâce, à Paris. Vous pouvez sentir le parfum imaginé en 1900 par Jacques Guerlain pour Sarah Bernhardt : Voilà Pourquoi J'aimais Rosine.
Coté maison s’attache à la création sonore originale proposée par le Studio Radio France : Benjamin Morando et Benoît de Villeneuve offrent une partition contemporaine qui vous plonge dans l’ambiance de la Belle Époque.
Vogue décline les techniques et inspirations qui font de l’oeuvre de Mucha, une oeuvre éternelle et intemporelle ; il serait même l’arrière grand-père de la pop culture selon le magazine Beaux-Arts. Du manga au tatouage en passant par l'art de rue, Mucha a insufflé un élan créatif dépassant les siècles et transgressant tous les arts.
Voilà une revue de presse qui ne peut que vous donner envie de vivre cette parenthèse enchantée !
