Votre panier est vide
Besoin d'inspiration ?
Rendez-vous dans le programme en ligne du GrandPalais
Article -
C’est à partir de la seconde moitié du XIXe siècle qu’un courant symboliste nait à la suite de premiers mouvements emprunts d’idéalisme menés par Blake, Fussli, Goya ou encore Friedrich.
Ce courant se développe ainsi dans le contexte d’une société en pleine mutation (progrès technique, capitalisme en plein essor, exode rural, glissement des codes traditionnels, remise en cause des dogmes religieux...). Le triomphe du matérialisme mène alors toute expression artistique vers la conscience historique et l’expérience visuelle du spectateur à travers l’académisme mais aussi le naturalisme et l’impressionnisme.
Le symbolisme s’oppose alors aux représentations matérielles et pragmatiques en développant un art amer et pessimiste, transcrivant un doute profond, un sentiment d’échec ou de décadence face au progrès récent. Il a ainsi recours à un monde imaginaire, immatériel, dont l’évocation est permise par l’intermédiaire du rêve (Dans le rêve de Redon), de la vision ou de l’hallucination. La référence aux cultes est alors fréquente (Maurice Denis, Puvis de Chavannes) notamment par la représentation d’un monde de l’au-delà.
Le courant pictural symboliste se caractérise par une production d’images différente de la réalité visible grâce au recours aux « symboles » comme l’allégorie ou l’emblème. L’image doit provoquer ou suggérer des significations nouvelles et mystérieuses, autres que celles représentées. Il est représenté par les Préraphaélites (Burne-Jones) en Grande-Bretagne, Puvis de Chavannes, Gustave Moreau, Odilon Redon puis les Nabis (Maurice Denis) en France, les Sécessions de Munich, Vienne (Klimt) et Berlin…
Votre panier est vide
Besoin d'inspiration ?
Rendez-vous dans le programme en ligne du GrandPalais
See content : The Grand Palais Sports Chronicles: sport during World War II in 5 key moments
L’École Popard au Grand Palais, 1942
Article -
The 1930s marked the democratization of sport. But with the onset of World War II, the Grand Palais changed its face: it became a sports propaganda tool serving the government's ideology. Let’s look back at five key moments that illustrate this shift.
See content : The bees are back on the roof of the Grand Palais!
Les ruches sont installées, gare aux abeilles !
Article -
They are once again buzzing above the Grand Palais: this summer of 2025, five beehives have taken up residence on the roof of the monument in a sustainable and educational move.
See content : In August, experience the Grand Palais differently
Article -
This August, the Grand Palais remains open and welcomes you to enjoy its must-see exhibitions and guided tours of the monument. Experience it with family or friends, in the heart of Paris!