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Apprenez à connaître un peu mieux "le secret le mieux gardé de l'art moderne". L'artiste portugais Amadeo de Souza-Cordoso est au Grand Palais jusqu'au 18 juillet 2016.
Amadeo est un travailleur acharné et consciencieux qui écume les expositions, lit de nombreux ouvrages d'art, se documente beaucoup et n'hésite pas à organiser de véritables voyages culturels. C'est ainsi qu'il se rend en 1910, avec celle qui deviendra sa femme en 1914, Lucie Pecetto, à l'exposition universelle de Bruxelles. Il y est saisi par les peintres primitifs et écrit son ressenti à son oncle : « Je passe mes journées avec les peintres primitifs qui sont mes idoles. ». Ce courant aura une forte influence sur l’œuvre d'Amadeo, notamment de par l'expression des thèmes végétaux. Pour lui l'art n'est pas intéressant s'il imite et « Les primitifs sont grands parce que leurs œuvres sont moins le reflet du monde que celui de leur âme, pénétré de ferveur religieuse » dit-il dans une lettre de 1910 à son oncle.
Amadeo a une image précise de l'artiste qu'il défend auprès de ses amis. Dans une lettre à Manuel Larangeira, il fustige la création artistique cherchant un intérêt pécuniaire, l'opposant à la beauté de la création artistique pure : « Vous semblez croire que je veuille faire de l'art pour en tirer profit. Non, ami, cela n'est pas de l'art, c'est une forme de commerce, la plus odieuse qu'il soit. […] Mais non, je veux faire de l'art pour moi, égoïstement ». Tout au long de sa vie il aura un jugement sévère à l'encontre de l'art conventionnel et académique, qu'il qualifie de médiocre dans son ensemble. Il a une vision assez peu enthousiaste de la plupart des œuvres de ses amis portugais « qui cheminent dans une routine retardataire ».
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L’École Popard au Grand Palais, 1942
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The 1930s marked the democratization of sport. But with the onset of World War II, the Grand Palais changed its face: it became a sports propaganda tool serving the government's ideology. Let’s look back at five key moments that illustrate this shift.
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